La côte caraïbe c'est fini
Nous voilà au point le plus haut de notre voyage sur la carte du continent sud américain. Demain nous reprenons la route vers un nouveau point cardinal que nous n'avions pas suivis depuis 8 mois, le Sud. Et là dessus Paul a beaucoup de mal à se mettre en tête qu'ici au nord il fait beau et qu'au Sud on s'approche du froid. Depuis 8 mois que l'on voyage, il confond toujours les deux !
Et oui, ça fait plus de 8 mois maintenant que nous suivons le nord, ainsi nous avons été un long moment au côté de la cordillère des Andes pour finir sur la côte Caraïbes, mais tout ça a une fin. Et l'on ne peut pas dire que cela nous enchante, nous sommes bien quand même sur ces plages de sable blanc à barboter dans cette eau à 30°C.
Aujourd'hui nous passons notre dernière journée sur la côte, tranquillement sur la terrasse de notre hébergement à Taganga avec vue sur la mer. Une journée tranquille est prévue avec au programme baignade et mise à jour du blog.
Alors, que s'est il passé ces derniers jours dans le nord de la Colombie ?
A Minca nous retrouvons des fincas de café et cacao. Nous avons alors décidé d'élire domicile dans une finca qui produit ces deux produits, la Finca San Rafael. Pour atteindre cette dernière qui se trouve à environ 2km de Minca, il faut soit y aller à pieds soit prendre une moto taxi. Pour notre première ascension nous avons opté pour une moto taxi chacun étant donné que nous étions équipés de tout notre attirail, et ce fut un peu chaotique. Le chemin était boueux, très loin d'être plat donc nous avons plus d'une fois cru que nous allions nous retrouver les fesses dans la boue avec le poids de nos sacs qui nous tiraient en arrière.
Une fois arrivés à bon port et entier nous nous retrouvons dans une très belle finca au milieu des champs de café et cacao. Cette finca produit en permaculture, on se croirait plus dans une forêt que dans des champs étant donné que rien n'est organisé, les plantes poussent là ou elles ont élue domicile.
La finca est tenue par un couple de fermiers qui n'ont pas la fibre touristique donc nous avions un peu l'impression de les déranger, l'accueil n'était pas présent mais le lieu en valait la peine. Nous étions perdu au milieu de cette forêt de caféiers et cacaotiers avec une piscine vue sur la forêt que demander de mieux ? Nos journées étaient alors composées de quelques heures de marches le matin pour soit se balader dans les environs soit descendre à Minca faire des emplettes puis d'une bonne trempette l'après midi pour nous rafraîchir de la chaleur étouffante et humide du milieu environnant.
Ces jours passées dans cette finca étaient très reposants, nous passions notre temps à écouter les bruits de la nature et à regarder en l'air à la recherche des oiseaux qui grouillent de partout. En clair nous n'avons pas fait grand chose de très fatiguant pendant cette étape mais nous étions quand même toujours lessivés. La chaleur humide du coin que notre corps a certainement du mal à assimiler...
Un parc protégé qui propose un chemin donnant accès à des plages sur la mer des caraïbes qui ne sont accessibles qu'à pieds ou en bateau. Il est possible de n'y passer que la journée en faisant l'aller retour en bus ou en bateau et ne s'arrêter qu'à une plage. Nous nous avons préféré y passer une nuit et faire tout le chemin.
Pour faire cette rando nous nous sommes basés dans le village de Taganga un peu à l'écart de Santa Marta pour trouver un peu d'authenticité. C'est une petit port de pêche tranquille mais qui a mauvaise réputation. En effet, on entend parler de vols de touristes à la machettes, on nous propose dans tous les coins de rue de la cocaïne et de l'herbe, et à partir d'une certaine heure les locaux sont bien chauds mais il ne nous ai rien arrivé. Il semble que cela soit dû à un afflux de touristes durant ces dix dernières années qui aurait vérolé l'attitude de certains locaux sur les touristes. Nous sommes basés dans une superbe auberge créée par un Français et nous avons fait que de bonnes rencontres. La mauvaise réputation de Taganga mythe ou réalité ?
Pour faire ce trek nous avons décidé de partir dans le sens inverse de ce qu'une grande majorité de personnes fait. En effet, normalement on débute le trek par l'entrée principale du parc à Zeino qui amène directement sur les plages pour ressortir une journée ou deux plus tard par le village de Calabazo en traversant une forêt très sauvage. Mais nous, comme à notre habitude nous aimons être tranquille et loin de la foule touristique donc nous décidons de débuter par Calabazo et la perspective de commencer par transpirer en rando pour finir sur les plages nous semblait meilleur.
On commence la rando vers 9h30, la chaleur et l'humidité sont là comme à leur habitude. Dès les premières minutes nous dégoulinons de sueur et ce n'est pas fini, nous avons bien 1h30 de grimpette. Au bout de 40mn, nous arrivons au plus haut point de la rando où nous rencontrons un homme qui est en train de créer son camping, il nous propose des mandarines que nous acceptons sans faire les difficiles, un peu de fraîcheur ne peut nous faire que du bien et il nous fait visiter son chantier. Une fois que ses travaux seront terminés ça fera un bon point d'arrêt pour les trekkeurs qui ne sont pas pressés de rentrer. Un arrêt au milieu de cette belle forêt luxuriante, loin des sentiers battus.
Après cette pause nous reprenons notre route, nous nous enfonçons un peu plus dans la forêt. Les couleurs sont sublimes, c'est un véritable camaïeu de vert qui nous entoure. Nous sommes à l’affût du moindre bruit, à chercher à quel animal tel ou tel bruit peut appartenir.Sur notre chemin nous ne rencontrerons que des oiseaux, nous n'aurons pas la chance de croiser de singe qui sont pourtant nombreux dans cette partie du parc.
Vers midi nous arrivons au Pueblito, une cité perdue au milieu de la forêt. Il y existe encore des cahutes abritant quelques familles mais la majorité se sont excentrées du chemin et les personnes encore présentes dans le village se cachent à notre arrivée, le tourisme aurait-il sa part de responsabilité ?
Nous ne faisons pas long feu ici, après un arrêt pique nique et rafraîchissement dans la rivière nous reprenons la route pour rejoindre la côte, il nous tarde de plonger dans la mer.
Durant ce passage, nous traversons plusieurs fois des petites rivières d'une limpidité étonnante bordées de sable doré et dans l'eau nous pouvons apercevoir comme des paillettes dorées. C'est féérique.
Le petit déjeuner avalé c'est reparti pour....20mn de marche pour arriver à la plage de la Piscina, L'image de plage des Caraïbes que l'on peut avoir en tête. Il est 8h du matin, nous sommes que tous les deux sur cette longue plage de sable blanc avec sa végétation et son eau cristalline parsemée encore de ces paillettes dorées.
Cette plage est protégée par un mur de corail rendant la mer agréable, la baignade possible et ou le snorkeling est roi. Paul restera presque tout son temps dans l'eau à la conquête des hauts fonds marins.
A 13h nous reprenons nos baskets pour partir car la faim nous tenaille depuis un petit moment mais nous n'avions pas envie de quitter cette plage enchanteresse. Au final ça tombe bien car c'est le moment ou le flot de touristes est à son pic avec l'arrivée des bus et bateaux à la journée.
Pour manger il y a très peu de chose à vendre dans le parc et tout est vendu à un prix exagéré (un plat qui nous coute 3€ en ville sera vendu au double dans le parc). Ainsi on a le choix entre retourner au restaurant de plage de Cabo, soit aller à Arrecifes, le premier arrêt pour les personnes qui commence le trek par Zeino, notre point de sortie. Nous devons alors marcher une bonne heure, re-dégouliner de transpiration pour enfin nous attabler au petit resto de plage d'Arrecifes. Et là, quelle mauvaise surprise, si un jour un de nos lecteur décide de faire ce trek et dormir à Arrecifes, nous le lui déconseillons tout de suite à moins que celui-ci puisse s'offrir l'hôtel-restaurant de l'écolodge. Car lorsque nous avons commandé notre plat dans le restaurant de plage on nous sert du poulet congelé accompagné d'une salade agrémentée de fourmis vivantes. Ni une ni deux on gueule un bon petit coup sur le proprio vu le prix exorbitant auquel il vendait ce plat et nous reprenons notre marche sans trop savoir quand est ce que l'on pourra remplir notre bidon qui crie famine.
Après encore une heure de marche nous arrivons à la sortie du parc, nous n'avons encore rien mangé, il est 14h30 et notre petit déjeuner était à 6h. (oui, elle est dure notre vie de voyageur, vous pouvez le dire), encore heureux que sur la plage de la piscina Paul nous a décortiqué une noix de coco de dame nature pour décaler un peu plus notre faim.
A la sortie du parc nous trouvons de quoi calmer notre ventre, des brownies maisons qui feront notre repas jusqu'au dîner. Mais là encore il faut bien regardé ce que l'on mange car des fourmis ou papillons c'étaient collés au glaçage des gâteaux. Après avoir bien trié les parts proposées on nourrit enfin nos ventres, on se vengera ce soir au resto.
Nous revoilà à Taganga, une journée de repos à ne rien faire et nous quittons définitivement la côte caraïbe pour redescendre et nous enfoncer dans les montagnes de la Colombie.
Cette pause Caraïbienne aura été vraiment un délice pour nous, que se soit dans l'eau ou sur la terre nous aurons apprécié chaque moment sur ces côtes et nous repartons d'ici avec plein de souvenirs ancré dans notre tête mais aussi sur notre peau avec tous nos boutons de moustiques !
Et oui, ça fait plus de 8 mois maintenant que nous suivons le nord, ainsi nous avons été un long moment au côté de la cordillère des Andes pour finir sur la côte Caraïbes, mais tout ça a une fin. Et l'on ne peut pas dire que cela nous enchante, nous sommes bien quand même sur ces plages de sable blanc à barboter dans cette eau à 30°C.
Aujourd'hui nous passons notre dernière journée sur la côte, tranquillement sur la terrasse de notre hébergement à Taganga avec vue sur la mer. Une journée tranquille est prévue avec au programme baignade et mise à jour du blog.
La Finca San Rafael
Avant de quitter la Colombie nous avions envie de refaire un stock de café, ainsi nous avons pris la direction de Minca, un petit village à quelques kilomètres de Santa Marta, la ville touristique du Nord Est de la Colombie. Dans cette dernière et comme à notre habitude, nous ne nous y sommes pas attardés car c'est une grosse ville et il ne faut pas le cacher, elle n'a rien d'intéressant à nous proposer à part bars, restos et boutiques, ça va juste pour une soirée.
A Minca nous retrouvons des fincas de café et cacao. Nous avons alors décidé d'élire domicile dans une finca qui produit ces deux produits, la Finca San Rafael. Pour atteindre cette dernière qui se trouve à environ 2km de Minca, il faut soit y aller à pieds soit prendre une moto taxi. Pour notre première ascension nous avons opté pour une moto taxi chacun étant donné que nous étions équipés de tout notre attirail, et ce fut un peu chaotique. Le chemin était boueux, très loin d'être plat donc nous avons plus d'une fois cru que nous allions nous retrouver les fesses dans la boue avec le poids de nos sacs qui nous tiraient en arrière.
Une fois arrivés à bon port et entier nous nous retrouvons dans une très belle finca au milieu des champs de café et cacao. Cette finca produit en permaculture, on se croirait plus dans une forêt que dans des champs étant donné que rien n'est organisé, les plantes poussent là ou elles ont élue domicile.
La finca est tenue par un couple de fermiers qui n'ont pas la fibre touristique donc nous avions un peu l'impression de les déranger, l'accueil n'était pas présent mais le lieu en valait la peine. Nous étions perdu au milieu de cette forêt de caféiers et cacaotiers avec une piscine vue sur la forêt que demander de mieux ? Nos journées étaient alors composées de quelques heures de marches le matin pour soit se balader dans les environs soit descendre à Minca faire des emplettes puis d'une bonne trempette l'après midi pour nous rafraîchir de la chaleur étouffante et humide du milieu environnant.
Ces jours passées dans cette finca étaient très reposants, nous passions notre temps à écouter les bruits de la nature et à regarder en l'air à la recherche des oiseaux qui grouillent de partout. En clair nous n'avons pas fait grand chose de très fatiguant pendant cette étape mais nous étions quand même toujours lessivés. La chaleur humide du coin que notre corps a certainement du mal à assimiler...
Le Parc de Tayrona
Après ces trois jours à Minca, nous avons partons faire un trek dans le Parc de Tayrona qui se trouve à quelques kilomètres de là.Un parc protégé qui propose un chemin donnant accès à des plages sur la mer des caraïbes qui ne sont accessibles qu'à pieds ou en bateau. Il est possible de n'y passer que la journée en faisant l'aller retour en bus ou en bateau et ne s'arrêter qu'à une plage. Nous nous avons préféré y passer une nuit et faire tout le chemin.
Pour faire cette rando nous nous sommes basés dans le village de Taganga un peu à l'écart de Santa Marta pour trouver un peu d'authenticité. C'est une petit port de pêche tranquille mais qui a mauvaise réputation. En effet, on entend parler de vols de touristes à la machettes, on nous propose dans tous les coins de rue de la cocaïne et de l'herbe, et à partir d'une certaine heure les locaux sont bien chauds mais il ne nous ai rien arrivé. Il semble que cela soit dû à un afflux de touristes durant ces dix dernières années qui aurait vérolé l'attitude de certains locaux sur les touristes. Nous sommes basés dans une superbe auberge créée par un Français et nous avons fait que de bonnes rencontres. La mauvaise réputation de Taganga mythe ou réalité ?
Pour faire ce trek nous avons décidé de partir dans le sens inverse de ce qu'une grande majorité de personnes fait. En effet, normalement on débute le trek par l'entrée principale du parc à Zeino qui amène directement sur les plages pour ressortir une journée ou deux plus tard par le village de Calabazo en traversant une forêt très sauvage. Mais nous, comme à notre habitude nous aimons être tranquille et loin de la foule touristique donc nous décidons de débuter par Calabazo et la perspective de commencer par transpirer en rando pour finir sur les plages nous semblait meilleur.
On commence la rando vers 9h30, la chaleur et l'humidité sont là comme à leur habitude. Dès les premières minutes nous dégoulinons de sueur et ce n'est pas fini, nous avons bien 1h30 de grimpette. Au bout de 40mn, nous arrivons au plus haut point de la rando où nous rencontrons un homme qui est en train de créer son camping, il nous propose des mandarines que nous acceptons sans faire les difficiles, un peu de fraîcheur ne peut nous faire que du bien et il nous fait visiter son chantier. Une fois que ses travaux seront terminés ça fera un bon point d'arrêt pour les trekkeurs qui ne sont pas pressés de rentrer. Un arrêt au milieu de cette belle forêt luxuriante, loin des sentiers battus.
Après cette pause nous reprenons notre route, nous nous enfonçons un peu plus dans la forêt. Les couleurs sont sublimes, c'est un véritable camaïeu de vert qui nous entoure. Nous sommes à l’affût du moindre bruit, à chercher à quel animal tel ou tel bruit peut appartenir.Sur notre chemin nous ne rencontrerons que des oiseaux, nous n'aurons pas la chance de croiser de singe qui sont pourtant nombreux dans cette partie du parc.
Vers midi nous arrivons au Pueblito, une cité perdue au milieu de la forêt. Il y existe encore des cahutes abritant quelques familles mais la majorité se sont excentrées du chemin et les personnes encore présentes dans le village se cachent à notre arrivée, le tourisme aurait-il sa part de responsabilité ?
Nous ne faisons pas long feu ici, après un arrêt pique nique et rafraîchissement dans la rivière nous reprenons la route pour rejoindre la côte, il nous tarde de plonger dans la mer.
Durant ce passage, nous traversons plusieurs fois des petites rivières d'une limpidité étonnante bordées de sable doré et dans l'eau nous pouvons apercevoir comme des paillettes dorées. C'est féérique.
Après encore une bonne heure de marche nous arrivons à la plage d'El Cabo, la plage où nous allons élire domicile en louant pour la nuit un hamac dans un "dortoir". Cette plage est assez fréquentée car des bateaux viennent y déposer des personnes pour la journée, mais une fois que tout ce petit monde décampes et étant donné que nous sommes hors période estivale il ne reste plus grand monde sur cette plage de sable blanc bordée de cocotiers. Nous restons alors plusieurs heures à admirer les alentours, faire trempette et prendre l'apéro car il n'y a que ça à faire ici et ça nous allait très bien après ces heures de marches humides. Une fois la nuit arrivée, le dîner consommé direction notre dortoir à hamacs, notre première nuit l'un comme l'autre dans ce lit suspendu. Y faire une sieste de quelques heures on connait mais y passer toute une nuit c'est une nouveauté, on espère bien dormir.
Au final ça n'aura pas été une nuit désastreuse, un peu courte car nous nous sommes levés avec le soleil à 5h30 mais nous avons réussi à nous reposer.
Avant de reprendre la route pour aller vers de nouvelles plages une première baignade s'impose à l'aurore. Il n'y a personne sur la plage à cette heure ci donc nous profitons du silence du matin pour finir de nous réveiller tranquillement porté par l'eau. C'est délicieux !
Au final ça n'aura pas été une nuit désastreuse, un peu courte car nous nous sommes levés avec le soleil à 5h30 mais nous avons réussi à nous reposer.
Avant de reprendre la route pour aller vers de nouvelles plages une première baignade s'impose à l'aurore. Il n'y a personne sur la plage à cette heure ci donc nous profitons du silence du matin pour finir de nous réveiller tranquillement porté par l'eau. C'est délicieux !
Le petit déjeuner avalé c'est reparti pour....20mn de marche pour arriver à la plage de la Piscina, L'image de plage des Caraïbes que l'on peut avoir en tête. Il est 8h du matin, nous sommes que tous les deux sur cette longue plage de sable blanc avec sa végétation et son eau cristalline parsemée encore de ces paillettes dorées.
Cette plage est protégée par un mur de corail rendant la mer agréable, la baignade possible et ou le snorkeling est roi. Paul restera presque tout son temps dans l'eau à la conquête des hauts fonds marins.
Après encore une heure de marche nous arrivons à la sortie du parc, nous n'avons encore rien mangé, il est 14h30 et notre petit déjeuner était à 6h. (oui, elle est dure notre vie de voyageur, vous pouvez le dire), encore heureux que sur la plage de la piscina Paul nous a décortiqué une noix de coco de dame nature pour décaler un peu plus notre faim.
A la sortie du parc nous trouvons de quoi calmer notre ventre, des brownies maisons qui feront notre repas jusqu'au dîner. Mais là encore il faut bien regardé ce que l'on mange car des fourmis ou papillons c'étaient collés au glaçage des gâteaux. Après avoir bien trié les parts proposées on nourrit enfin nos ventres, on se vengera ce soir au resto.
Nous revoilà à Taganga, une journée de repos à ne rien faire et nous quittons définitivement la côte caraïbe pour redescendre et nous enfoncer dans les montagnes de la Colombie.
Cette pause Caraïbienne aura été vraiment un délice pour nous, que se soit dans l'eau ou sur la terre nous aurons apprécié chaque moment sur ces côtes et nous repartons d'ici avec plein de souvenirs ancré dans notre tête mais aussi sur notre peau avec tous nos boutons de moustiques !
