Un embrun marin
Nous sommes le 18 mars et nous voici à Quellon, ville du sur de l'île Chiloe.
Nous sommes arrivé par le Ferry de Naviera Austral que nous avons pris il y a deux jours à Puerto Chacabuco.
Ces deux jours se résument par les mots lecture et contemplation.
En effet il n'y a rien d'autre à faire sur un ferry, mais on doit avouer que passer des heures et des heures à observer l'horizon de cette partie du Chili a été un vrais bonheur. La pure contemplation est quelque chose que nous ne savions plus faire (l'a t-on jamais su ?).
Par la force du voyage en bateau, nous nous sommes assis sur le pont pour admirer les lumières du matin, du soir, du ciel et de l'eau, les quelques petits ports où nous avons pris des passagers, l'océan, les forêts, les oiseaux, des dauphins et même une baleine (ou un orque, on a vu que sa queue !). Au final, à notre étonnement, le voyage ne nous a pas paru particulièrement long.
Nous avons également tous les deux attaqué la lecture d'un Sepulveda, auteur Chilien, en espagnol.
Nous sommes arrivé par le Ferry de Naviera Austral que nous avons pris il y a deux jours à Puerto Chacabuco.
Ces deux jours se résument par les mots lecture et contemplation.
En effet il n'y a rien d'autre à faire sur un ferry, mais on doit avouer que passer des heures et des heures à observer l'horizon de cette partie du Chili a été un vrais bonheur. La pure contemplation est quelque chose que nous ne savions plus faire (l'a t-on jamais su ?).
Par la force du voyage en bateau, nous nous sommes assis sur le pont pour admirer les lumières du matin, du soir, du ciel et de l'eau, les quelques petits ports où nous avons pris des passagers, l'océan, les forêts, les oiseaux, des dauphins et même une baleine (ou un orque, on a vu que sa queue !). Au final, à notre étonnement, le voyage ne nous a pas paru particulièrement long.
Nous avons également tous les deux attaqué la lecture d'un Sepulveda, auteur Chilien, en espagnol.
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